Les Schtroumpfs ne font pas trop de différence entre frémissements et grelottements.
Moins zéro en bas des Termes, 1 ou 2° la plupart du temps, 6° pour finir, la plus froide sortie de 2009 en température ressentie. Que l'air était glacé !  
Heureusement, nous avons de chaleureuses coutumes à l'ASPTT Marseille. Au bout d'une trentaine de kilomètres, nous nous arrêtons toujours pour prendre le café dans un bistrot ou un autre. Là, c'était à Auriol dans un endroit inédit (nous avons du mal à trouver le café idéal dans le secteur d'Auriol, mais cela pourrait s'arranger).
Autre chaleureuse coutume : il y a très souvent un schtroumpf qui règle l'addition parce que c'est son heureux anniversaire pour nous. Aujourd'hui, c'était le tour de Daniel F. Merci Daniel F.
Après le café, certains idolâtres de l'itinéraire officiel sont allé voir si l'air était moins glacé dans la Sainte Baume. C'est à eux de le dire, je n'y étais pas.

Ici, la photo du jour. En grattant l'écran, vous pourrez peut-ête apercevoir Patrick G. et sa chevelure poivre et sel très classe. Mais il faut bien gratter, car il n'y a pas de deuxième chance.

Là, le héros du jour.

Première sortie sur la journée, les Mimosas ayant été reportés sous des cieux plus cléments.

Beaucoup de vent mais peu d’hésitations, tant pour prendre la décision d’y aller que pour celle presque aussi délicate du lieu de ravitaillement. Cette fois pas de pénurie aux Lecques,  boulangerie ouverte (et même le casino) mais c’est finalement la sandwicherie qui nous a abrités (enfin si on peut dire vu qu’elle n’était pas fermée). Pas de plage cette année.

Donc un énorme gain de temps qui était le bienvenu après quatre crevaisons (inégalement réparties sur deux roues).

Puis les Crêtes : dans les premières lignes droites il a fallu s’incliner sur la droite pour ne pas dériver sur la gauche (en essayant d’anticiper les interruptions de rafales) et à l’arrivée de la dernière « côtelette », mise en garde des premiers arrivés contre la sortie de route.

Finalement, tout le monde s’en est bien sorti malgré une augmentation de 50% par rapport à notre kilométrage des dernières semaines.

 
(Le reste des photos dans l'album crêtes littorales)

 

quoiqu'en pensait le dessinateur Chaval.
Ce matin, à 8h45, Chemin de la Madrague de la Ville, à l'angle du boulevard Oddo, nous avons tous vu Henri s'arrêter en catastrophe, se saisir d'un chiffon (personne n'imaginait qu'il transportait ce genre d'objet à vélo) et entreprendre frénétiquement d'astiquer son specialized tout neuf.
La raison de cet étrange comportement : une attaque aérienne d'une précision chirurgicale, exécutée pourtant en haute altitude. Compte tenu de l'altitude et de la taille du projectile, les soupçons se portent sur un oiseau du type ci-contre, que j'ai photographié au péril de ma vie. Je ne prétends pas que c'est lui le coupable (comme les specialized , ils-se-ressemblent-tous, quand-on-en-a-vu-un...), mais il a vraiment l'air méchant.
Ce qui est troublant dans cette affaire, c'est que cet attentat  ornithiste visait le génial inventeur de la sortie omelette...

Je ne radote pas, je sais que je vous ai déjà diffusé le lien sur le circuit des 100 cols, cette organisation hollandaise au sous-titre merveilleusement accrocheur. Ayant été moi-même accroché, j'ai ajouté ce lien dans la page contacts et liens. Je lui ai associé un autre lien sur le récit d'un jeune britannique, peut-être pas écrit exactement dans la langue de shakespeare, mais bel et bien en langue anglaise, qui n'est quand même pas la langue la plus dure du monde. Je n'ai pas de traduction disponible, à vos dico...

Profitant de cette visite sur le blog, vous pouvez voir à droite un encart très explicite sur la réunion de section de lundi. Pardonnez-moi d'enfoncer ce second clou. Je sais que, là encore, vous êtes tous au courant. Mais venez nombreux, please...

Heureusement, quand il pleut le samedi, on a une deuxième chance le dimanche. Nous sommes 15 à l’avoir saisie ce matin.

Le mot d’ordre « Auriol direct » nous a amenés vers des petites routes pittoresques que nous empruntons rarement, entre St-Jean-de-Garguier et Auriol, et qui en ont surpris plus d’un. Pour ma part il m’a bien semblé reconnaître le décor mais pas du tout le pourcentage. Puis j’ai  malencontreusement emprunté un nid de poule et crevé par pincement. J’ai rassemblé un comité de soutien plus restreint que celui de l’autre crevaison de la matinée mais le gonflage  était excellent.

Puis retour par les Boyers pour tous et par le Pigeonnier pour certains. Une sortie idéale pour l’hiver.