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7 mai 2012 1 07 /05 /mai /2012 13:58

P1010161Ce séjour en terre d’Aude et Ariège aurait dû se dérouler en 2011 mais avec la disparition de notre ami Daniel il fut annulé et c’est notre président Thierry qui a tenu à le remettre sur pied en cette année 2012 du 28/4 au 1er Mai. Pour simplifier la logistique nous séjournerons quatre jours  à Lézignan Corbières à l’hôtel Grand Soleil où le plus charmant des accueils nous sera réservé.

Le voyageur hâtif qui traverse la plaine audoise ne garde le souvenir que de vignes et céréales. Il peut croire que l’Aude est constitué par une plaine alors que l’Aude n’est que montagnes. Un dénommé Young a noté judicieusement que les « montagnes en occupaient les sept huitièmes ». Il est délimité au sud par les Pyrénées encore bien enneigées, au Nord la Montagne Noire avec le Pic de Nore, à l’Est la mer et les étangs de Gruissan, Bages. Un littoral très sablonneux avec les plages de Narbonne, Gruissan, Port La Nouvelle, Leucate, La Franqui que nous aurions dû visiter lors du premier jour. Vers l’Ouest vous vous échappez par les plaines du Lauragais en direction de Toulouse.

Nous avions à plusieurs préparé des parcours au départ de Lézignan qui nous auraient conduits en bord de mer, dans les Corbières et vers la montagne noire. En option, une partie du Minervois. Ces projets étant dépendants de la météo fort capricieuse et les parcours choisis selon la couleur du ciel et la direction du vent, et en cette période électorale soumise au vote. Démocratique.

1er jour : 28/4/12. La Vallée de l’Orbieu et Paysages des Corbières   

Laroque de FaDépart aux aurores de Marseille pour un rendez vous à Lézignan pour 9h30. 300 kilomètres à parcourir presque en totalité par autoroute et comme ce n’est pas une saison à grand flux migratoire, la circulation est fluide et sans encombre. Personne ne manque à l’appel et c’est au nombre de douze participants avec en renfort le neveu de Noël venu en voisin que nous allons commencer notre périple. Le ciel est couvert, le vent marin souffle fort et après avoir déposé nos affaires à l’hôtel, c’est autour d’un petit noir que nous allons dessiner notre premier parcours. Ce sera la vallée de l’Orbieu, la vraie rivière des Corbières qui arrose St Martin, St Pierre des Champs, Lagrasse, Fabrezan, Luc, Ornaisons, Villedaigne et se jette dans l’Aude à Raissac. Il faut prévoir un point de chute pour le midi et c’est Mouthoumet, chef lieu de canton à une cinquantaine de kilomètres, qui est choisi. Une grande ligne droite traversant la zone artisanale et commerciale et longeant l’aérodrome nous éloigne de Lézignan pour aller rejoindre des routes bien plus tranquilles. Les vignes bourgeonnantes donnent un vert tendre au paysage. De nombreux hectares ont été arrachés et remplacés par des semences de blé ou de pois, d’autres laissés en jachère avec de gros tas de racines qui pourraient servir à faire de bonnes grillades avec leurs braises. Nous atteignons facilement Villerouge Termenès et son château que nos accompagnatrices visiteront le lendemain. Le Col de Bedos nous attend avec 3 kms d’ascension pour un point culminant à 485 m, le seul endroit où sur un parcours au total de 400 kms nous tombons sur un malade qui nous double avec son camion rouge de boucher-charcutier  en nous frôlant klaxon bloqué, de quoi provoquer notre ire.  Nous avons quitté les vignes pour retrouver les bois, la petite montagne et un peu d’élevage. Une belle descente et Laroque de Fa nous attend avec sa superette. Nous n’arrivons à Mouthoumet seulement à 4 kms. L’accueil est des plus cordial, nous faisons nos courses et en terrasse où se trouvent chaises et tables nous déjeunons. Nous y prenons même le café. Un groupe va continuer vers le pont D’Orbieu mais Jean Ch. est venu chasser les cols et en sa compagnie, nous remontons le col de Bedos pour, en direction de Termes, passer plusieurs cols. Le château de Termes et les Abbaye de Lagrassefameux seigneurs de Termes qui tinrent tête à Simon de Monfort. Je rends visite à un ami de lycée qui a succédé à son père en tant que CG. Une belle descente nous amène à Vignevieille bien connue de Max qui tous les 14 Juillet vient y faire un petit séjour et nous y attendons l’autre groupe retardé par une crevaison d’Henri. Tous ces villages n’ont pas plus de cinquante habitants et encore, en comptant les animaux domestiques. Nous passons St Martin des Puits, St Pierre des Champs en suivant le cours de l’Orbieu pour atteindre Lagrasse que nous visitons. Ses rues pavées avec des galets, son église, ses halles et son abbaye. De belles photos sont prises en divers endroits. La légende veut que ce nom soit donné par Charlemagne pour la richesse de cette vallée riche. Une petite grimpée pour sortir en direction de Ribaute et nous retrouvons les vignes. Le vent marin souffle toujours aussi fort.  S’il ne gêne pas trop notre progression, il saoule un peu. Nous passons Fabrezan, la ville natale de Charles Cros, inventeur du phonographe où un musée lui est dédié et nous voici en direction de Lézignan. Le vent fort de côté est dangereux car il nous fait faire des écarts et dans cette zone commerciale en ce samedi, les véhicules sont nombreux et il y a également une entrée d’autoroute. Nous rentrons à bon port sans accident ou incident. Pour une entrée en matière, ce fut une bonne journée. Il ne reste plus qu’à prendre possession de nos chambres par couple ou en individuel, se faire une beauté et se rendre au « 79 », siège du FCL XIII pour prendre en commun un apéritif bien mérité.

Au Garmin : 96 kms  960 D+  19,6 km/h

Cols franchis : Villerouge (404)-Tranchée(372)-Bedos(485)- Seillas(455)- Termes(515)-Caroun(472).

2ème Jour : Les Corbières orientales (une partie) avec passage à MONTLAUR

P1040365Après une nuit ventée et légèrement pluvieuse, le temps s’est remis au beau. Le ciel est clair, le vent marin souffle toujours et pour s’échapper de Lézignan nous empruntons l’ex N113. Sauf erreur de ma part, c’est sur cet axe que nous trouvons le seul feu tricolore de tout notre périple, sur la commune de Conilhac. Cette voie sera rebaptisée voie Max Baron car nous l’emprunterons au retour sur son initiative, alors que nous aurions pu cheminer sur de plus petites voies pour rejoindre notre point de départ. Après avoir dîné le samedi en compagnie de Jean V et son épouse Marilou, ex marseillais maintenant retirés à Limoux, capitale de la blanquette dont s’inspira don Perignon pour son champagne, il est prévu de se retrouver à St Hilaire pour y déjeuner le dimanche et faire quelques kilomètres en sa compagnie.  Nous allons passer par Fontcouverte dont le saint patron est St Régis, Fabrezan, Camplong renommé pour son vignoble et également son architecture en cercle et gagner Montlaur, ma ville natale par les gorges du Congoust en suivant le ruisseau des Mattes. Je les ai tellement « bassinés » avec mon Montlaur que c’est une obligation d’y faire une halte. Pour moi c’est un pèlerinage car bien entendu je connais cette contrée comme ma poche, à pied, à vélo, en voiture. Le fameux trou du canard dont la légende veut que des canards aient traversé cette grotte, la montagne Alaric, pour sortir à Fontcouverte et où Henri R s’est transformé en son temps en spéléologue, les Ilhes, St Michel que nous allions implorer par temps de sècheresse, les campagnes de La Plage, de La Fraissinède transformées actuellement en gîtes et restaurants et puis la plaine de Montlaur. Traditionnelle photo au panneau d’entrée, traversée sans encombre et arrêt obligatoire à ma maison de naissance, car je suis Maison de Denis !né comme bien d’autres de ma génération au domicile de mes parents. Ouverture des portes, visite rapide, bonjour au voisin. Le cousin averti aurait bien sollicité fanfare, maire, curé et tapis rouge mais ce sera pour une autre fois. Je remarque en traversant le village quelques transformations, WC publics fermés, bureau de Poste démoli, de nouvelles maisons au lotissement. Sur la place de la mairie où se trouvent les écoles je me dois de saluer des personnes de ma connaissance. Certains s’impatientent car ils ne voudraient pas arriver après la fermeture de la supérette à St Hilaire et se priver de repas. Nous filons vers Arquettes en Val et faisons l’ascension du « Picou » où nous rencontrons en sens inverse de nombreux cyclos qui doivent participer aux 150 kms du VS Narbonnais. La pente n’est pas trop raide ni trop longue et le vent est favorable. Nous descendons vers Mas des Cours, Villefloure, l’embranchement de Palaja qui rajeunit Gérard de quelques années car il y accomplit son service  militaire et crapahuta plus qu’il ne faut dans cette contrée. Souvenirs, souvenirs de jeunesse. De cette période, on ne garde que les bons moments. St Hilaire, son abbaye et sa supérette. Ouf, nous ne nous sucerons pas les doigts, elle est ouverte et nous attend car nous l’avions prévenue la veille. Emplettes faites, nous allons au jardin public où nous attendent bancs et tables.  Trois services, eau plate, eau gazeuse et vins, rouge et blanquette. La table des vins servira de ruche car à tour de rôle ils viendront s’y présenter pour y goûter. Très bonne ambiance. Jean V prévenu fait son apparition en tenue ASPTT. Voilà maintenant le groupe fort de 14 unités. Après rangement, nous prenons le café au pied de l’abbaye. C’est pas tout, on ferait bien une petite sieste, ce que ne manqua pas de faire le coach Henri (photo) mais il faut se remettre en route. On est venus pour ça. Direction  Villebazy, Buc, Clermont sur Lauquet et sa mairie sans habitations, ce qui interroge notre curiosité, une bonne grimpette pour passer au col de la Garouillère  avant de descendre vers Labastide en Val, une cité paisible où coule à sa fontaine une eau claire et très fraiche, traversée par la rivière de l’Alzou si pure que de belles truites y fraient ( pêche interdite). De Labastide, on peut faire le tour du plateau de La Camp et qui n’a pas fait le tour de ce plateau ne connaît pas l’Aude. L’altitude moyenne est de 700 m. Très visité à la période des champignons. Attention de ne pas s’y perdre. Nous sommes maintenant sur le chemin du retour en passant par Serviès en val et son château, Montlaur où nous faisons une pause BBF et causons une nouvelle fois avec des enfants du pays maintenant devenus grands. Le col de l’Alaric nous attend mais peu pentu de ce côté-ci, avant de retrouver la plaine en passant par Comigne, Douzens et son musée des oiseaux, Moux et retrouver la N113 rebaptisée « voie Max Baron ». Un peu de circulation mais sans plus. Arrivée peu tardive ce qui nous permettra d’aller prendre l’apéro au « 79 » bien moins mouvementé que la veille. Cette journée fut bien agréable, un peu plus longue et un dénivelé plus important mais de beaux paysages, de belles rivières et surtout une bonne ambiance lors de la pause méridienne.

124 kms    1465 D+   18,8 km/h

Cols franchis : Col de Buc(400), Crouzette(405), Garouillère(557), Alaric(317)

3ème Jour : Pluie du matin n’arrête pas le pèlerin. Encore moins un cyclo.

Chez HenriAu réveil, c’est la pluie qui nous sort du lit. Le ciel est bas, très bas. Peu de chances qu’on puisse rouler ce jour. Le petit déjeuner est pris à l’heure habituelle et nous tirons des plans. Henri, arrivé de chez lui en tenue cycliste, part se changer et nous partons faire les caves. Ils sont nombreux à vouloir rentrer avec du vin du pays des Corbières. En convoi nous nous y rendons. Maison de pays. Si vous avez le portefeuille bien garni dans ce lieu vous ne pouvez ni mourir de faim ni de soif. La pluie redouble de violence et me vient cette idée merveilleuse : et si nous nous faisions un bon cassoulet chez Henri ! Henri est OK, les autres sont partants. Nous faisons les courses avec en plus la gentillesse de l’hôtesse qui nous conseille tel cassoulet, pâtés, saucisson, fromages et vin. Ce sera la cerise sur le gâteau de ces 4 jours. Noël au fourneau, Denis à l’ouvre boite et à la cave. Table dressée par les autres participants. Seul Bernard décide de nous quitter sans même goûter à notre cassoulet. Bon retour, on ne te retient pas. Pendant ces agapes, le soleil pointe à nouveau son nez. Après la glace et le café, les cartes sont sorties. Nous devions faire un petit tour vers le canal du midi. Le groupe se partagera en deux. Quatre pour le petit parcours, onze sur le plus grand, trop grand car notre retour sera tardif alors qu’Henri avec sa famille nous attend pour 18h30 pour un apéritif. Nous partons vers Cruscades, Ornaisons, Bizanet, lieu de la séparation. Mon groupe de onze file vers St André, Monséret, Ripaud où je reconnais le restaurant lors de notre randonnée Cerbère-Marseille actuellement en réfection. Belle route pour filer vers Portel des C. Nous nous approchons de Sijean, pays de Jean M. Le vent marin nous amène les senteurs de la mer car nous en sommes tout proches mais nous allons y tourner le dos pour nous enfoncer dans les Corbières. Les kilomètres s’accumulent, la pendule tourne. Routes calmes, bon revêtement, paysages toujours aussi beaux. Nous passons le col de Souil (267) pour arriver à Durban. Longue ascension pour aller vers Coustouge où la pluie nous a précédés. Un seul mot : magnifique. Que du plaisir, température plus frisquette mais qu’on est bien ! Jamais nous ne serons à l’heure pour l’apéro. Je les entends d’ici maugréer, « rouméguer ». Nous mettons toute notre ardeur pour rentrer au plus tôt. Cette fois-ci, le vent a tourné et dans la grande ligne droite il nous pousse dans le fossé. Nous arrivons quand même à bon port. Il est 19h15 ; pas droit à la douche. Le temps d’enfiler un pantalon de survêt, une veste et direct chez Henri pas si loin. Cartagène (vin doux du pays fabrication maison par son « beauf »), muscat, amuse-gueules nous attendent dans une chaude ambiance. Accueil du midi des plus sympathiques. La Cartagène a un succès fou et la bouteille pourtant de deux litres ne résiste pas à notre gourmandise. Le président apprécie énormément. Noël le dernier arrivé a failli n’en avoir que l’odeur. Notre hôte a prévu de nous en faire une cuvée spéciale ASPTT. Nous passons à table un peu plus tardivement en ayant fait un saut sous la douche malgré la désapprobation de certains. Encore une très bonne journée bien remplie entre le cassoulet, le vélo et l’apéro. On en redemande.

Cols gravis : Cols de Souil (267) - Pereille (245) - Salce (231) - Rouire (304).

100 kms    857 D+  19,9 km/h

4ème Jour : A la conquête de nombreux cols.

P1040405Nous voici déjà au dernier jour de notre trop court séjour, surtout quand il s’agit de votre « pays » natal. On voudrait y rester plus longtemps ; pour éviter les bouchons que nous prédit Max lors de notre entrée sur Marseille, nous allons faire une étape au départ de St Laurent de la Cabrerisse. Nous n’allons pas vers le Pic de Nore, car il est encore enneigé et il fait plutôt frais. Lors de notre déplacement vers St Laurent, une vingtaine de kms, les Pyrénées enneigées sont en face de nous. Le ciel est d’un bleu très pur et le paysage est magnifique.  Pas de problème pour stationner nos véhicules. Nous nous apprêtons au plus vite. Nous allons  prendre une traverse, mais quand on parle de traverse il s’avère parfois que la pente soit plus raide et c’est le cas. C’est bien du 12% peut être 14% sans échauffement ; ça gronde dans les rangs. Traverse connue car nous sommes doublés par une horde de motards anglais.  Nous retrouvons la route de Coustouge que nous descendions hier après la pluie. Une bonne montée et même pas un col. Personne mes amis. Pas un véhicule, seulement quelques cyclos en sens inverse.  De belles gorges nous conduisent vers Albas, Cascastel. Nous virons sur notre droite pour attaquer une rampe qui va nous conduire au col d’Amiel. A chaque col, un arrêt. Max n’arrive plus à les compter. Comme à son habitude, il râle un peu mais il est bien avec nous et grimpe sans difficulté. Nous enchainons montées et descentes sans rencontrer âme qui vive. Plusieurs photos sont prises pour immortaliser ce séjour. De l’espace, des forêts, des vignes ici où là. Bientôt midi. Trouvons un lieu sympa pour croquer notre casse-croûte que nous transportons dans nos sacs à dos ou sacoches, sans avoir oublié le vin bien entendu. C’est Maisons qui nous accueille sur son Château Villerougejeu de boules limitrophe du cimetière. Ces derniers ne nous dérangeront pas et nous pouvons être bruyants. Sardines en boite, jambon, pâté, fromage, gâteaux, vin, eau, il ne manque rien. Jean Ch. révise ses cols sur carte Michelin. Max, à l’ombre sur son banc, domine l’assistance, les autres sont sur le muret. Le plein d’eau bien fraiche est fait au cimetière. Les sacs sont bien plus légers et les derniers cols seront ainsi plus facilement franchis. Il nous manque le petit noir. Il est pris à Villerouge Termenès au pied du château où ça sent bon les grillades. Mes amis, des entrecôtes qui ne tiennent pas dans l’assiette avec des frites servies à la pelle. Véridique. On se remettrait à table. Un petit écart pour faire un nouveau col en option. Notre chasseur de cols a fait le plein. Il a quintuplé son score de 2011.  Je crois bien que c’est 16 nouveaux cols ajoutés à son déjà très riche palmarès. C’est une longue descente qui nous ramène à nos véhicules. Voilà, ça sent la fin. Nous allons nous séparer avec un pincement au cœur car il faut le dire nous avons bien vécu ces 4 jours. Du vélo, un temps toutefois agréable, un hôtel restaurant sympathique avec des patrons plus qu’aimables et serviables. On va quitter les Corbières à regret. Qui sait, peut-être reviendrons-nous un jour dans ce département en se rapprochant au plus près des Pyrénées ou des PO pour admirer les châteaux cathares et les hautes corbières. Ce ne sont pas les routes et l’espace qui nous font défaut dans cette région. Et puis, vous avez également la mer, la montagne noire et tant d’autres lieux qui ne demandent qu’à être visités.

Cols franchis : Col de Rouire(304) - Escassié (287) - Serre(193) - Amiel(378)- Gineste(405) - Ferreol(428) - Gleizes(430) - Prat(455) - Liges(406) - Tranchée(372) - Prat(366) - Villerouge(404).

Au total à mon compteur : 393 kms et 4377m D+. Pour d’autres  + ou –

Participants :Revertegat-Chapard-Baron-Gauthier-Ourliac-Motte-Auriol-Delacour-Sire-Jouve-Rougé-Berthomieu- et en renfort Thierry, neveu de Noël, et Jean Vaquié.

Merci à Thierry et à Sylvie d’avoir mis sur pied ce projet de randonnée maintenant effectuée. Merci à ceux qui ont répondu présent malgré des défections de dernière minute et un départ anticipé en milieu de séjour.

Je pense que vous pourrez visionner les photos de Thierry et Jean R. qui seront jointes. Vous découvrirez tous les lieux dont je viens en longueur de vous faire les commentaires.

Bonne lecture à tous et sachez que je ne brigue aucun fauteuil à l’Académie Française.

Les vidéos de Thierry :   J1   J2    J3   J4

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commentaires

A
<br /> Bravo Denis superbe article il est beau et precis .<br />
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  • : Puisque nous sommes des cyclotouristes, notre activité est un subtil compromis entre le sport et la convivialité. Donc de la randonnée, petite, grande et très grande, de la culture sans excés et de la bou..., pardon gastronomie, avec excès.
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