Non, ce n'est pas un gros mot. C'est un peu l'équivalent de l'audimat pour les blogs. Il prend en compte le nombre de mises à jours (articles, commentaires, abonnements...) et bien entendu le nombre de visiteurs et de pages visitées. Vous voyez ce que je fais... vous voyez ce qui vous reste à faire...
Pour l'instant, dans la petite liste des blogs dédiés au cyclotourisme sur over-blog, nous ne somme pas mal placés (5ème), grâce, il faut le dire, à la publication des albums photos (les statistiques, que seul je peux voir nananaire, sont formelles). Nous sommes, hélas, encore loin derrière le sympathique site de Cahors Cyclo Tourisme. Mais ne renonçons pas, bloguons comme des malades !
Mais je ne travaille pas que pour le BlogRank, je dois évoquer notre sortie d'aujourd'hui jeudi, une sortie hyper classique, avec repas à l'intérieur du Café des Sports, où nous sommes généralement les seuls sportifs.
Plusieurs choses à signaler. D'abord, les jambons-beurre l'ont largement emporté sur les steaks-frites-ketchup, ce qui laisse présager un vrai renversement de tendance en ce qui concerne notre diététique sportive. Ensuite, Gégé est resté serein jusqu'au bout, ce qui prouve que nous ne nous sommes pas éternisés à table. Enfin, les membres du comité de section présents (et il y en a beaucoup) ont pris d'importantes décisions concernant les tours de Lozère et de Corse, ce qui montre bien que, dans ce club, les responsables savent travailler la bouche pleine.
Après manger, nous étions 10 à affronter sans peur les pentes de la Ste Baume. Si la forêt nous a parue si lugubre par cette froide journée de janvier, c'est que sur ce versant il y a très peu de conifères, comme nous l'a fait remarquer Alain. Par contre, il y avait beaucoup de déconnifères dans le peloton, et nous avons roulé sans tristesse sous un ciel aussi triste que la forêt.
J'ai entendu ce genre de chose : "Oui, mais Daniel a la plume facile" , "chacun son truc" a appuyé Geo avec impertinence. Bon, les gars, je ne sais si j'ai un truc en plume, mais comme vous me laissez tout écrire, vous allez devoir me plumer plusieurs oies d'avance.